• LE PARDON

     

    Petit mot de deux syllabes qui en dit… long;
    Que quelquefois, on semble oublier : c’est commode...
    Difficile à comprendre, c’est quoi le pardon ?
    La plus belle chose à donner,« toujours de mode.»
     

    Dépendamment de chacun,  ce n’est pas facile,
    Pour d’autres, il s’accorde, alors naturellement.
    Selon ce qu’on reçoit comme tempérament,
    Il est possible que ce soit :« plus difficile»
     
    Pardonner ne signifie pas être amnésique,
    Surtout, si la confiance en a pris pour son coup…¸
    Les magnanimes se protègent ainsi, beaucoup,
    Afin, d’éviter de pleurer sur la musique.
     
    Plus l’offense fait mal, plus chercher le pourquoi;
    L’envie ou la jalousie, un grand mal…en soi.
    Un manque d’Amour, ou de réflexion peut-être ?
    Se doute-t-elle, du chagrin fait à cet être ?
     
    Plusieurs, demandent un pardon automatique,
    La personne peinée pourrait se désister…
    Elle se questionne :« c’est… systématique.»
    Donnez-lui du temps, et, ne pas trop insister!
     
    On doit pouvoir puiser dans nos capacités;
    Dans notre clémence, et, envers tous les humains.
    Lui donner la  chance ainsi de… s’accepter
    Dis, qui sommes-nous, pour refuser une main ?
     
    Et, accorder un pardon plutôt … douloureux,
    Dénote une grandeur d’âme; aussi la… bonté!
    Alors, un jour, elle pourra sûrement récolter
    Les grâces qu’elle a données ont fait des heureux!


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  • La voie de la sagesse

    Ce que nous recherchons, est en nous, pas ailleurs,

    Il faut du temps, pour en extraire le meilleur.

    Alors, pour trouver en soi, cette sagesse,

    Nous devons combattre toutes nos faiblesses,

    Qui voilent le chemin, agissant en surface,

    Pour cet ego, insatiable, qui menace.

    Il nous asservit, par ses craintes et ses désirs,

    Car,  gagner ou conserver, sont ses grands plaisirs.

    Laissons le donc, se satisfaire sans « violence »,

    Pour qu’il ne se débatte pas dans  ses souffrances.

    Une fois ses désirs assouvis, il s’efface,

    Et la libération, peut  enfin prendre place.

     

    S’accomplir c’est, traverser chaque épreuve,

    Quelle qu’elle soit, heureuse ou, malheureuse.

    Vivons les donc, sans chercher à s’en protéger.

    Les fuir, aurait pour effet de les renforcer.

    Pas à pas, on assimile, on digère,

    Etape, après étape, on se libère,

    Pour trouver, enfin en soi, la plénitude,

    Libres de « l’avoir », qui n’est que servitude.

    C’est  un processus, plein de tribulations,

    Où nous vivons, jusqu’à terme, bien d’émotions,

    Tout ce qui nous habite, qui était latent,

    Et que nous hébergeons, depuis la « nuit des temps.

    Ce que porte le psychisme, s’actualise,

    L’ego, le mental, craquent, ils n’ont plus d’emprises.

     

    Il nous faut tout lâcher, et ne rien garder,

    A tout perdre, sauf l’essentiel, la Liberté.

    C’est des moments de mort, à ne plus se connaître.

    Ne faut-il pas mourir, pour mieux renaître ?

    Les liens se dénouent, puis, disparaît la prison,

    Pour laisser émerger, de nouveaux horizons.

    L’ego à perdu son pouvoir et sa magie,

    Nous voilà libre, car l’éveil se produit.

    Nous atteignons enfin, une autre dimension,

    A des niveaux, jamais visités, plus profonds.

    Il y a en nous, un tel bouleversement,

    Que notre regard, ne sera plus comme avant.

    La façon de concevoir le monde a changé,

    A ce stade, rien ne peut plus nous perturber,

    Abordant la souffrance, sans en être percutés.

    Libres de nos émotions, nous nous oublions,

    Pour nous tourner vers autrui, avec compassion,

    Neutralité,  intégrité, tempérance,

    Et surtout, humilité et bienveillance.

     

    N’étant plus centrés sur notre histoire personnelle,

    Nous voilà ouverts à la vie universelle ;

    Quête des richesses, des potentialités,

    Des qualités intrinsèques de l ‘humanité !

     


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  • Plus je vis, plus je déplore l’antipathie,
    Entre peuples qui sèment la mort, non la vie!
    Faut-il accepter la haine sans réagir?
    Non! Nous devons la rejeter, il faut agir…

    Afin que, les hommes vivent en paix sur la terre…
    On doit bannir avec acharnement. la guerre!
    Pour que cessent toutes ces abominations.
    Quand finira toute cette domination?

    Plusieurs bombardements anéantissent tout,
    Plongeant dans la mort, enfants et civils surtout!
    Ils apportent détresse et la vengeance.
    Combien d’humains vivent dans cette ambiance?

    La haine règne dans presque tous les pays,
    Pourquoi? N’avez-vous donc pas encore compris?
    Aucune justification pour… la guerre!
    Pas plus, pour les religions ou un bout de terre.

    L’effroi, se lit dans les yeux des petits enfants
    En pleurs, accrochés au tablier de maman…
    Voilà votre œuvre! Un bien triste spectacle.
    Pauvres petits! Ils n’ont plus leur habitacle!

    Chacun se considère comme une victime,
    Commet les pires infamies, les pires crimes.
    Et, tant de haine accumulée au fil des ans!
    Sauront-ils s’estimer, s’aimer avec le temps?

    Paix et Amour aux peuples de cette terre!
    Que l’amitié fleurisse dans votre parterre…
    C’est le vœu que je fais pour vous tous avec joie.
    Vous qui demeurez si loin, et si près parfois!


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  • Mimosa

    Ami mimosa, tu ensoleilles l’azur

    de tes petites boules duveteuses,

    poussinesques,

    et tu balances tes branches
    sous la tramontane fringante.

    Ami exotique, tu éclates de tes rondeurs
    printannières avec cette haute note jaune
    si chère à Van Gogh. Si juvénil,
    tu claironnes le printemps avant
    les primevères et les crocus.

     

    Tu tires ton feu d’artifice en premier
    en jaune sur fonds bleu soutenu
    et ainsi tu donnes le coup d’envoi
    d’une nouvelle année, d’un nouveau printemps
    pour bientôt, d’un nouvel élan,
    d’un renouveau, d’un autre monde vivant


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  • Quelle surprise ce premier janvier 2016; de voir que certaines aminautes sont venues lire  

     

     



    Si on savait ce que l’avenir nous réserve
    Et, que notre vie changerait du tout au tout.
    Personne, n’ose le croire, pas moi surtout!
    Pourtant, je te l’écris avec toute ma verve…

    Un jour, me rendant compte de mes aptitudes
    Pour l’écriture, je commence à faire des études.
    Boileau, je n’aurais pas écrit sans toi, je crois,
    Et, parfois, j’ai bûché sur un chemin étroit.

    Cependant, souvent j’ai senti vibrer mon cœur;
    Je peux m’exprimer au gré de ma fantaisie!
    Aussi, ma vie a pris plus de sens, de valeur…
    En mettant des leçons de vie en poésies.

    Puissent mes écrits servir pour mes semblables.
    J’ai vécu jusqu’à un âge respectable,
    Je me permets de vous parler avec amour!
    En un sens, certains poèmes à l’ordre du jour.

    Pour que le bonheur habite… ton quotidien,
    Que s’ouvrent tes yeux à la magnifique nature;
    De toutes ces beautés, sois-en le vrai gardien!
    Ces poèmes ont été pour moi, une armature…

    Une soupape où je pouvais crier mes peines,
    Mes petits bonheurs, mes souvenirs d’autrefois…
    Aussi d’émotion, mon âme pleurait parfois.
    Ce fut pour moi, à n’en pas douter. une veine!

    Si j’avais su qu’un jour, je ferais des poèmes,
    Me valorisant, me donnant confiance en moi.
    Quand de la vie, je n’attendais plus rien ma foi…
    Elle m’a donné, de la joie, de l’espoir même !


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